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 LE REMEDE DU CONTENTEMENT MARDI 18 SEPTEMBRE 2007

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AuteurMessage
guidobarbarossa




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Date d'inscription : 24/09/2006

LE REMEDE DU CONTENTEMENT   MARDI 18 SEPTEMBRE 2007 Empty
MessageSujet: LE REMEDE DU CONTENTEMENT MARDI 18 SEPTEMBRE 2007   LE REMEDE DU CONTENTEMENT   MARDI 18 SEPTEMBRE 2007 Icon_minitimeMer 19 Sep - 11:25

Le 18/09/07

Le remède du contentement.

Psaumes 37 : 4-5

4 Fais de l’Eternel tes délices, Et il te donnera ce que ton coeur désire.
5 Recommande ton sort à l’Eternel, Mets en lui ta confiance, et il agira.


1-8 Définition de la bonne attitude face aux problèmes de la vie

Devant le problème des inégalités de la vie, le psalmiste évoque tout d’abord les aspects négatifs : ne t’irrite pas, n’envie pas ; mais l’accent principal est mis sur les actions positives : Confie-toi, fais tes délices, recommande, garde le silence, attends ; toutes étant en rapport avec la pleine suffisance et la bonté de l’Éternel.

Le psalmiste était sans doute troublé par la prospérité et le pouvoir des méchants, mais il croyait que ce n’était qu’un renversement provisoire des vraies valeurs. On peut lire ce poème en parallèle avec le #Ps 73, où l’issue est considérée d’un point de vue spirituel et non matériel.


Romains 12 : 2

2 Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.

Les croyants doivent se consacrer à Dieu. (1,2)

1,2 L’apôtre ayant terminé la partie de son épître dans laquelle il discute et prouve les diverses doctrines qui sont pratiquement appliquées, ici il insiste sur les devoirs importants émanant des principes de l’évangile. Il a imploré les Romains, comme étant ses frères en Christ, par les miséricordes de Dieu, de Lui présenter leurs corps comme un sacrifice vivant. Ceci est un puissant appel. Nous recevons tous les jours du Seigneur les fruits de sa miséricorde. Rendons-lui en retour tout ce que nous pouvons ; tout ce que nous sommes, tout ce que nous avons, tout ce que nous pouvons faire: et après tout qu’est ce retour par rapport aux grandes richesses que nous recevons? Ce qui est acceptable à Dieu, c’est un service raisonnable, pour lequel nous sommes capables et prêts à donner une raison, et que nous comprenons. La conversion et la sanctification sont le renouvellement de l’esprit ; elles sont un changement, non pas de la substance, mais des qualités de l’âme. Le progrès de la sanctification, qui conduit de plus en plus à la mort au péché et à la vie à la justice, est opéré sur cette oeuvre de renouvellement, jusqu’à ce que cela soit parachevé dans la gloire. Le grand ennemi à ce renouvellement est la conformation à ce monde. Soyons prudents, lorsque nous formons des plans de bonheur, si ces projets reposent dans les choses de ce monde, choses qui passent très vite. Ne tombons pas dans les habitudes de ceux qui marchent dans la convoitise de la chair, et qui ont l’esprit aux choses terrestres. L’oeuvre du Saint Esprit commence d’abord dans la compréhension, puis elle se fait sur la volonté, les affections, et la conversation, jusqu’à ce qu’il y ait un changement de l’ensemble de l’homme dans la ressemblance avec Dieu, dans la connaissance, la justice, et la véritable sainteté. Ainsi, être pieux, c’est de nous abandonner à Dieu.

Psaumes 23

Le divin Berger.

1 Cantique de David. L’Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
2 Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles.
3 Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
4 Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent.
5 Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires ; Tu oins d’huile ma tête, Et ma coupe déborde.
6 Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j’habiterai dans la maison de l’Eternel Jusqu’à la fin de mes jours.


Image familière à David. Le terme berger est un titre royal. Dieu est le berger d’Israël :

1-4 Pèlerinage
David dépend totalement de l’Éternel, comme une brebis dépend de son berger. Il y a ici deux aspects : d’une part la sérénité, se reposer dans de verts pâturages et près des eaux paisibles, suggère un bien-être physique ; d’autre part, la sécurité : un voyage protégé le long des sentiers de la justice suggère un calme personnel et un soulagement moral, car la vigilance protectrice du berger chasse toute anxiété. Ce thème est renforcé dans le sens d’une naïve libération de tout souci et d’un lien d’affection ineffable avec le berger.

5-6 L’hospitalité
Ces versets insistent sur le soin avec lequel David reconnaît la libéralité de l’Éternel, hôte parfait. Elle a deux aspects ; la plénitude : ses besoins et sa joie sont comblés à tous points de vue. Le croyant est libre de tout antagonisme humain. Le but final est que la relation avec l’Éternel soit riche et illimitée, ce qui est un privilège tout à fait personnel. Notez le contraste entre l’usage du Tu et celui du il dans la partie précédente.

Psaumes 27 : 1-2

1 De David. L’Eternel est ma lumière et mon salut : De qui aurais–je crainte ? L’Eternel est le soutien de ma vie : De qui aurais–je peur ?
2 Quand des méchants s’avancent contre moi, Pour dévorer ma chair, Ce sont mes persécuteurs et mes ennemis Qui chancellent et tombent.


1-3 Une confiance totale

1 Il y a là un triple parallèle : l’Éternel est ma lumière, mon salut et mon soutien.
2-3 Bien que je sois confronté aux adversaires, aux multitudes et au risque de la guerre, mes ennemis trébuchent dans l’obscurité dont je suis délivré par la lumière divine ; le rassemblement des armées ne peut affecter la paix de mon cœur, grâce à son salut ; aussi la menace de l’extension du conflit n’a aucun pouvoir pour s’emparer de ma forteresse,


Colossiens 2 : 10

10 Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité.

10 L’apôtre poursuit en insistant auprès de ses lecteurs sur la plénitude du Seigneur Jésus-Christ, et sur leur statut parfait en lui. Que cette vérité du v. 10 suive celle du précédent constitue une merveilleuse expression de la grâce de Dieu. En Christ se trouve toute la plénitude de la divinité, et le croyant à tout pleinement en lui. Bien sûr, cela ne signifie pas que toute la plénitude de la divinité habite le chrétien. Le seul pour qui cette affirmation est vraie et le sera éternellement, c’est Jésus-Christ. Mais ce verset nous apprend que le croyant détient en Christ tout ce dont il a besoin pour sa vie et sa piété.

Spurgeon donne une bonne définition de notre plénitude.
Il dit que nous sommes
a) complets sans l’aide des cérémonies juives,
b) complets sans l’aide de la philosophie,
c) complets sans l’intervention de la superstition,
d) complets sans le mérite humain.
Celui en qui nous avons la plénitude est le Chef de toute domination et de toute autorité. Les gnostiques étaient particulièrement préoccupés par la question des anges. Il en sera fait mention plus loin dans ce chapitre. Mais Christ est le Chef de tous les êtres angéliques et il serait ridicule d’en rester aux anges alors que nous pouvons avoir le Créateur des anges comme objet de notre affection, et jouir de la communion avec lui.


2 Pierre 3 : 18

18 Mais croissez dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus–Christ. A lui soit la gloire, maintenant et pour l’éternité ! Amen !

18 La grâce et la connaissance sont considérées toutes deux comme venant de Dieu et sont les dons qui rendent possible la croissance à la fois sur le plan moral et mental, deux domaines dans lesquels les progrès des chrétiens devraient aller de pair, comme l’a montré cette lettre. Jésus-Christ peut aider ses disciples dans cette double croissance, puisqu’il est à la fois Seigneur et Sauveur. À lui veut dire à Christ, par quoi l’auteur affirme clairement sa divinité. Le jour de l’éternité signifie littéralement « le jour de l’âge, du siècle » (à venir), celui qui inaugurera l’éternité, donc le jour de la venue de Christ. Dans certaines versions (Darby, Kuen), le texte se termine par « amen », qui est probablement une addition tardive : « Ainsi soit-il » est certainement la réponse d’un cœur croyant parvenu à la fin de cette lettre.

Actes 20 : 35

35 Je vous ai montré de toutes manières que c’est en travaillant ainsi qu’il faut soutenir les faibles, et se rappeler les paroles du Seigneur, qui a dit lui–même : Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.

33-35 En terminant son message, l’apôtre Paul propose une nouvelle fois aux anciens l’exemple de sa propre vie et de son propre ministère. En toute sincérité, il peut affirmer qu’il n’a désiré ni l’or, ni l’argent, ni les vêtements de personne. Dans l’oeuvre du Seigneur, il n’était donc pas motivé par l’espoir du gain. Paul était pauvre en ce qui concerne les biens matériels, mais il était riche envers Dieu. Etendant ses mains devant eux, il leur rappelle que ces mains ont travaillé afin de pourvoir à ses besoins et à ceux des personnes qui étaient avec lui. Mais il a fait plus encore : il a travaillé à la fabrication de tentes dans le but d’être en mesure de soutenir ceux qui sont faibles -ceux qui sont physiquement malades, ou faibles, ayant des scrupules moraux, ou faibles dans le domaine spirituel. Les anciens doivent s’en souvenir et dans tous les domaines rechercher le bien d’autrui, en se rappelant les paroles du Seigneur Jésus, Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. Fait intéressant, ces paroles ne se trouvent dans aucun des Evangiles. Elles représentent certes le résumé d’une partie importante de son enseignement, mais elles paraissent à cet endroit comme une addition inspirée aux paroles de Jésus rapportées dans les Evangiles.

1 Corinthiens 7 : 3

3 Que le mari rende à sa femme ce qu’il lui doit ; de même la femme à son mari.

3 Dans le couple, les conjoints doivent se rendre mutuellement ce qu’implique la vie conjugale, puisqu’ils sont dépendants l’un de l’autre. En disant : Que le mari rende à la femme ce qu’il lui doit, il rappelle à l’homme qu’il doit s’acquitter de ses devoirs de mari. Il doit en être de même de la femme. Notez avec quel tact et quelle délicatesse l’apôtre aborde ce sujet. Aucune grossièreté, aucune vulgarité. Quelle différence avec le monde !
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