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 MARDI 27 MAI 2008 LA TENDRESSE DE SON AMOUR.

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guidobarbarossa




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MARDI 27 MAI  2008  LA TENDRESSE DE SON AMOUR. Empty
MessageSujet: MARDI 27 MAI 2008 LA TENDRESSE DE SON AMOUR.   MARDI 27 MAI  2008  LA TENDRESSE DE SON AMOUR. Icon_minitimeMer 28 Mai - 10:03

Mardi 27 Mai 2008

La tendresse de son amour.

Matthieu 15 : 29-39.

29 Jésus quitta ces lieux, et vint près de la mer de Galilée. Etant monté sur la montagne, il s’y assit.
30 Alors s’approcha de lui une grande foule, ayant avec elle des boiteux, des aveugles, des muets, des estropiés, et beaucoup d’autres malades. On les mit à ses pieds, et il les guérit;
31 en sorte que la foule était dans l’admiration de voir que les muets parlaient, que les estropiés étaient guéris, que les boiteux marchaient, que les aveugles voyaient; et elle glorifiait le Dieu d’Israël.
32 Jésus, ayant appelé ses disciples, dit: Je suis ému de compassion pour cette foule; car voilà trois jours qu’ils sont près de moi, et ils n’ont rien à manger. Je ne veux pas les renvoyer à jeun, de peur que les forces ne leur manquent en chemin.
33 Les disciples lui dirent: Comment nous procurer dans ce lieu désert assez de pains pour rassasier une si grande foule?
34 Jésus leur demanda: Combien avez-vous de pains? Sept, répondirent-ils, et quelques petits poissons.
35 Alors il fit asseoir la foule par terre,
36 prit les sept pains et les poissons, et, après avoir rendu grâces, il les rompit et les donna à ses disciples, qui les distribuèrent à la foule.
37 Tous mangèrent et furent rassasiés, et l’on emporta sept corbeilles pleines des morceaux qui restaient.
38 Ceux qui avaient mangé étaient quatre mille hommes, sans les femmes et les enfants.
39 Ensuite, il renvoya la foule, monta dans la barque, et se rendit dans la contrée de Magadan.


29-39 Quel que soit notre cas, l’unique chemin pour trouver adoucissement et soulagement est de se mettre au pied de Christ, de se soumettre à lui, et de se référer à ses directives. Ceux qui veulent obtenir de Christ la guérison spirituelle doivent se laisser gouverner comme il le désire. Voyez l’oeuvre qui a été accomplie par le péché; voyez le nombre de maladies auxquelles sont sujettes les corps humains. Il y avait là de telles misères que nul n’avait envie et ne pouvait en estimer la cause, ni en assurer la guérison, et pourtant ces maladies obéissaient au commandement de Christ. Les guérisons spirituelles réalisées par Christ sont merveilleuses. Quand les âmes sont capables de voir par la foi, quand le muet parle dans sa prière, quand les boiteux et les estropiés marchent dans une sainte obéissance, cela mérite notre étonnement. Sa puissance a été également démontrée à la multitude, dans la provision abondante qu’il leur a fournie: la manière est la même que précédemment. Tous ont mangé et ont été rassasiés. Ceux que Christ nourrit, il leur donne en abondance. Avec Christ il y a suffisamment de pain, et il en reste; des réserves de grâces pour plus qui ne les recherchent, et pour ceux qui en cherchent encore plus. Christ a renvoyé le peuple. Bien qu’il les ait nourris deux fois, ils ne doivent pas s’attendre à des miracles pour trouver leur pain quotidien. Ils doivent retourner à leurs demeures, et à leurs propres tables. Seigneur, augmente notre foi, et pardonne notre incrédulité, enseigne-nous à vivre sur ta plénitude et ta générosité, pour toutes choses appartenant à cette vie, et celle qui est à venir.

Jésus guérit de grandes foules (29-31)
29-31 Marc (Mr 7.31) nous apprend que Jésus quitta Tyr, se dirigea vers Sidon au nord, puis obliqua vers l’est, franchit le Jourdain et descendit vers le sud en traversant la Décapole. Là, près du lac de Galilée, Il guérit des boiteux, des aveugles, des muets, des estropiés et bien d’autres malades.
La foule admirative glorifiait le Dieu d’Israël. On peut raisonnablement supposer que Jésus se trouvait alors dans un environnement païen. En effet, les habitants de la région, qui associaient Jésus et ses disciples à Israël, avaient déduit à juste titre que le Dieu d’Israël était à l’oeuvre parmi eux.
Jésus nourrit les 4 000 hommes (32).
32 Des lecteurs superficiels (ou critiques) ont confondu cette multiplication des pains avec celle opérée en faveur des 5 000 hommes, et ont accusé la Bible de répétition, de contradiction et d’erreurs de calcul. En fait, les deux épisodes sont tout à fait distincts et se complètent au lieu de se contredire.
Après avoir suivi le Seigneur pendant trois jours, la foule avait épuisé ses réserves alimentaires. Or, Jésus ne voulait pas les laisser partir à jeun, de crainte que beaucoup ne soient pris de faiblesse en chemin.
33-34 A nouveau, les disciples sont frustrés devant une tâche impossible pour nourrir une telle multitude. Ils disposaient cette fois de sept pains et de quelques petits poissons.
35-36 Comme dans le cas des 5 000, Jésus fit asseoir les gens, rendit grâces, rompit les pains et les poissons, et les donna à ses disciples pour qu’ils les distribuent. Il attend d’eux qu’ils fassent leur possible, puis Il intervient et accomplit ce qui leur est impossible.
37-39 Quand les gens furent rassasiés, il resta sept corbeilles pleines du surplus. Le nombre des personnes nourries s’élevait à 4 000 hommes, sans les femmes et les enfants.
Dans le chapitre suivant, nous verrons que le nombre des personnes bénéficiaires des deux multiplications a une signification (16.8-12). Il en est ainsi pour chaque détail du récit biblique. Après avoir congédié la foule, le Seigneur se rendit en barque à Magdala ( Magadan ), sur la rive occidentale de la mer de Galilée.


Matthieu 14 : 14-21.

14 Quand il sortit de la barque, il vit une grande foule, et fut ému de compassion pour elle, et il guérit les malades.
15 Le soir étant venu, les disciples s’approchèrent de lui, et dirent: Ce lieu est désert, et l’heure est déjà avancée; renvoie la foule, afin qu’elle aille dans les villages, pour s’acheter des vivres.
16 Jésus leur répondit: Ils n’ont pas besoin de s’en aller; donnez-leur vous-mêmes à manger.
17 Mais ils lui dirent: Nous n’avons ici que cinq pains et deux poissons.
18 Et il dit: Apportez-les-moi.
19 Il fit asseoir la foule sur l’herbe, prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux vers le ciel, il rendit grâces. Puis, il rompit les pains et les donna aux disciples, qui les distribuèrent à la foule.
20 Tous mangèrent et furent rassasiés, et l’on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient.
21 Ceux qui avaient mangé étaient environ cinq mille hommes, sans les femmes et les enfants.


14 à 21 Multiplication des pains.
Etant sorti de la retraite solitaire où il avait passé quelques heures avec ses disciples, Jésus, à la vue de cette grande multitude, est ému de compassion (gr. ému dans ses entrailles), soit à cause de tous ces malades qu’on lui amenait pour qu’il les guérit, soit à cause de l’état de délaissement moral de ce pauvre peuple, qui était à ses yeux "comme des brebis qui n’ont point de berger." {#Mr 6:34}

14 Quand il sortit de la barque, il vit une grande foule. La foule attendait l’accostage. C’était effectivement une grande foule puisque plus loin il est parlé de 5000 hommes, plus des femmes et des enfants. Fut ému de compassion. Il semble, d’après Jean, qu’il s’est retiré à la montagne pour un court moment, puis est retourné à la multitude, ému de compassion pour elle. Joh 6:3
On trouve ici le seul miracle raconté dans chacun des quatre évangiles. Les récits parallèles se trouvent dans Mr 6:30-44 Lu 9:10-17 Joh 6:1-14.
15 Le soir étant venu. C’était le "premier soir," celui qui commence au déclin du jour, vers trois heures de l’après-midi. Le second soir, dans la coutume Juive, commence au coucher du soleil. La journée s’est déjà passée dans l’enseignement et la guérison. Ce lieu est désert. Il ne devait donc y avoir aucun hameau sur place, où la foule aurait pu s’approvisionner. Il n’y a pas de fermes en Palestine. Toute la population vit dans les villes ou villages, et souvent les agriculteurs ont leurs champs à plusieurs kilomètres.
16 Donnez-leur vous-mêmes à manger. Nous apprenons dans les récits parallèles que les disciples ne comprennent pas comment ils pourraient le faire, mais qu’ils auraient obéi de bon coeur.
17 Nous n’avons ici que cinq pains et deux poissons. C’est André qui a dit cela Joh 6:8
Les pains étaient de minces et petites galettes, faites avec de la farine d’orge, cuites sur le flanc d’une jarre servant de four.
18 Avec quelle majestueuse assurance Jésus sait ce qu’il va faire de cette insuffisante provision!
19 Il fit asseoir la foule. Marc nous indique qu’il les fit asseoir par groupes, en rangées de cent et cinquante. Mr 6:39
Sur l’herbe. Jean dit: "il y avait dans ce lieu beaucoup d’herbe." Joh 6:10
C’était la saison du printemps, en Nisan, "le mois des fleurs," et les pentes étaient recouvertes d’herbe printanière. Levant les yeux vers le ciel. Dans la prière nous devons manifester de tels gestes apparents, car ils aident à exprimer notre disposition intérieure et les saintes affections de notre coeur et de notre âme. Il rendit grâce. Il a remercié et demandé au Père sa bénédiction sur la nourriture.
20 Ce fut Jésus qui ordonna aux disciples de recueillir ces morceaux de surplus, "afin que rien ne se perde."
Ces paniers étaient de petits sacs de voyage en jonc ou en paille. Chaque disciple en avait un, et le remplit.
21 Cinq mille hommes. Il y eut ainsi une galette pour chacun des cinq mille hommes. Christ est le pain de vie, apaisant la faim de l’âme par l’amour, le pardon, l’immortalité, l’utilité, le progrès, la connaissance. Il donna ce pain à ses disciples et les a invités à le distribuer à la multitude. Ainsi en est-il de ceux qui sont remplis de la divine nature: le plus ils distribueront aux âmes affamées, le plus il en restera pour eux-mêmes.


2 Timothée 3 : 1-5.

1 Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles.
2 Car les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux,
3 insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien,
4 traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu,
5 ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces hommes-là.


1 L’apôtre décrit maintenant à Timothée les conditions qui existeront dans le monde avant la venue du Seigneur. On a souvent fait remarquer que la liste des péchés qui suit ressemble beaucoup à la description des païens impies dans Romains 1. Ce qui est frappant, c’est que les conditions mêmes qui existent parmi les païens dans leur état sauvage et non civilisé caractériseront les chrétiens professants dans les derniers jours. Combien cela est solennel !
Les derniers jours dont il est question ici sont ceux entre la période apostolique et l’apparition de Christ quand Il viendra pour établir son royaume.
2 Ce qui frappe dans ces versets, c’est de constater ce que les hommes aimeront. Au v. 2, il est dit qu’ils s’aimeront eux-mêmes (égoïstes) et aimeront l’argent. Du v. 4, il ressort qu’ils « aimeront le plaisir plus que Dieu ».
Les v. 2-5 énumèrent 19 traits caractéristiques de l’humanité des derniers jours. En voici la liste, accompagnée de synonymes explicatifs:
égoïstes :centrés sur eux-mêmes et vaniteux ;
amis de l’argent :avides d’argent et avares ;
fanfarons :vantards, la bouche pleine de paroles vaniteuses ;
hautains :arrogants et impérieux ;
blasphémateurs :employant des paroles méchantes, profanatrices, injurieuses, viles, méprisantes et insultantes ;
rebelles à leurs parents :en révolte, désobéissants, effrénés ;
ingrats :sans reconnaissance, sans savoir apprécier ;
irréligieux :impies, profanateurs, irrévérencieux, dépourvus de tout sens de ce qui est sacré ;
3 insensibles :durs de coeur, grossiers, sans pitié ;
déloyaux (vers. angl. :unforgiving 3D « qui ne pardonne pas »): implacables, refusant la paix et la réconciliation ;
calomniateurs :répandant des fausses rumeurs et la malice ;
intempérants :sans maîtrise de soi, aux passions déréglées, dévergondés, débauchés ;
cruels :brutaux, sauvages, sans principes ;
ennemis des gens de bien (vers. angl. :despisers of good 3D « qui méprisent le bien »): ils détestent tous ceux qui sont bons et tout ce qui est bon ; ils s’opposent à toutes les formes de la bonté ;
4 traîtres :faux, sournois ;
emportés :impétueux, téméraires, sans égards ;
enflés d’orgueil :prétentieux, vaniteux, hautains ;
aimant le plaisir plus que Dieu :ils aiment les plaisirs sensuels mais pas Dieu.
5 En apparence, ces gens semblent religieux. Ils professent leur christianisme, mais leurs actions parlent plus fort que leurs paroles. Par leur comportement impie, ils montrent qu’ils vivent un mensonge. Il n’y a pas d’évidence de la puissance de Dieu dans leur vie. Il y a peut-être eu réformation, mais jamais régénération. Weymouth traduit ainsi: « Bien qu’ils maintiennent une forme de religion, ils ne veulent rien avoir affaire avec sa puissance. » Et selon Moffatt: « Ils maintiendront un semblant de piété tout en excluant sa force. » Parole Vivante transcrit comme suit: « Certes, ils resteront attachés aux traditions extérieures de la religion et, pour sauver la façade, garderont l’apparence de la piété, mais en réalité, ils ne voudront rien savoir de ce qui en fait la force [...] ; aussi leur conduite démentira-t-elle leur profession de foi. » Ils désirent être religieux tout en continuant à pécher (cf. #Apo 3.14-22). Hiebert donne cet avertissement: « C’est le portrait effrayant d’un christianisme apostat, d’un nouveau paganisme se dissimulant sous le nom de christianisme. »[ 22, voir "2Ti 4.22" @@ "22. "]
Paul exhorte Timothée à s’éloigner de ces hommes-là. Ce sont les vases décrits au chapitre précédent et dont Timothée doit se purifier.
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