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 MARDI 23 SEPT 08 AIMER EN PAROLES ET EN ACTES.

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guidobarbarossa




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Date d'inscription : 24/09/2006

MARDI 23 SEPT 08  AIMER EN PAROLES ET EN ACTES. Empty
MessageSujet: MARDI 23 SEPT 08 AIMER EN PAROLES ET EN ACTES.   MARDI 23 SEPT 08  AIMER EN PAROLES ET EN ACTES. Icon_minitimeMer 24 Sep - 12:58

Mardi 23 Septembre 2008.

Aimer en paroles et en actes.

Jacques 2 : 14-18.

14 Mes frères, que sert–il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les oeuvres? La foi peut–elle le sauver?
15 Si un frère ou une sœur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour,
16 et que l’un d’entre vous leur dise: Allez en paix, chauffez–vous et rassasiez- vous ! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert–il?
17 Il en est ainsi de la foi: si elle n’a pas les oeuvres, elle est morte en elle–même.
18 Mais quelqu’un dira: Toi, tu as la foi; et moi, j’ai les oeuvres. Montre–moi ta foi sans les oeuvres, et moi, je te montrerai la foi par mes oeuvres.


14 La question rhétorique : À quoi bon... ? avec les exhortations qu’elle implique (cf. 2.1 s. ; 3.1 s.) détermine le thème de la section. Notez à nouveau le si (cf. 2.2). Jacques imagine un exemple, sans doute tiré de ses expériences avec certains pseudo-pauliniens. Le langage, bien que prudent, suggère une prétention à la foi, un commentaire et une question. Quelqu’un dit : « J’ai la foi ». Mais, commente Jacques, dans la pratique il n’accomplit aucune œuvre. La prétention et le commentaire sont imaginés. Si telle est la situation, ajoute Jacques, quel avantage peut-on en retirer ? « Une telle foi peut-elle sauver ? » (La réponse suggérée est évidemment négative.) La prétention à avoir la foi n’est soutenue par aucune manifestation visible de sa réalité : il n’a pas les œuvres. Pour Jacques, le salut dépend de la réception de la Parole, mais aussi de l’obéissance (1.21 s.).
15-16 Ce n’est pas un cas réel. Ici encore, Jacques dit : si, et pense à un frère ou une sœur sans préciser davantage. Il imagine une comparaison tirée de ce que nous appellerions un cas social. Ce qu’il veut montrer, c’est que la bonne volonté ou l’attitude amicale ne suffisent pas. Aussi répète-t-il la question : « À quoi cela sert-il ? » -dans le domaine du bien-être humain, non pas sur le plan du salut éternel. Par contraste, cf. Mr 5:34 b.
17 Il en est ainsi. De même que, dans le travail social, la bonne volonté qui ne se traduit pas en actes est morte, ainsi en est-il sur le plan religieux de la foi sans les œuvres : elle est morte. Le mort ne fait absolument rien ! La foi en elle-même correspond à « la foi seulement » du verset 24 et à « la loi sans les œuvres » du verset 26. La TOB transcrit : « La foi qui n’aurait pas d’œuvres est morte dans son isolement. » Il est utile ici de considérer #Lu 23:43. Il n’est pas resté de temps au larron repentant pour les œuvres et sa foi n’a pas eu le temps de mourir. Jacques n’aurait rien trouvé à redire à cela. Il pense plutôt à une foi ayant le temps de s’exprimer par des œuvres, mais qui n’en saisit pas les occasions.
18 Ce verset est notoirement difficile. Il s’agit de saisir qui est supposé parler et où sont les limites de la citation. Mais quelqu’un (grec : tis) dira marque une objection, et le « quelqu’un » appartient au style. Il y a deux possibilités : a) ce quelqu’un (peut-être le « on » -tis -du verset 14) disant simplement : Toi (Jacques), tu as la foi. Il veut dire : « Tu es dans la même situation que nous ; tu es l’un de nous ». Jacques réplique vivement : et moi, j’ai les œuvres et contre-attaque ainsi : Montre-moi... b) Par contre, il se pourrait que Jacques reste à l’arrière-plan et que quelqu’un parle de sa part répondant au tis, le « on » du verset 14. Ce quelqu’un commence en disant, Tu as la foi (dis-tu... verset 14) et moi j’ai les œuvres. Il poursuit son offensive. Sachant que la foi est une attitude intérieure et que le contradicteur prétend l’avoir, il lui dit : « Montre-la-moi ». Au fond, il sous-entend : « si tu peux, mais j’en doute ». Car comment la montrer autrement que par les œuvres, que tu n’as pas ! Il termine le round par un coup violent : Moi, par mes œuvres, je te montrerai ma foi. Cela est possible puisque les œuvres expriment la foi.


Deutéronome 6 : 4-5.

4 Ecoute, Israël! l’Eternel, notre Dieu, est le seul Eternel.
5 Tu aimeras l’Eternel, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta force.


4 Écoute, Israël. Cf. De 5:1, note. Moïse s’apprête à déclarer le caractère unique de Dieu, et la réponse exigée en toute loyauté d’Israël. Ce verset est le début du célèbre Shema juif (composé de Deut 6: 4-9; 11: 13-21 et No 15: 37-41) que les Israélites pieux récitent deux fois par jour dans leur liturgie. Le Christ a ajouté l’expression « de toute ta pensée » et a appelé les versets 4 et 5 « le premier et plus grand commandement » (Mt 22: 37-38 ; Mr 12: 29-30 ; Lu 10: 27). Le seul Éternel. Cette expression a plusieurs sens possibles, en particulier celui-ci : le Seigneur étant le « seul Dieu », la participation à l’alliance exclut l’adoration de toute autre divinité.
5 Conséquence pratique du grand principe monothéiste posé. au v. 4. La certitude d’être redevable de tout à un Dieu unique oblige l’Israélite à se donner lui-même à ce Dieu avec tout ce qu’il possède de vie et de force. Le coeur est nommé le premier; c’est l’organe par lequel l’homme perçoit Dieu et entre en contact avec lui.
L’âme est le souffle de vie, la personnalité humaine avec la totalité de ses facultés d’intelligence, de conscience et de volonté.
La force désigne l’énergie que l’âme déploie au dehors, sous l’impulsion du coeur rempli de Dieu.- II est impossible de s’élever à une conception de la vie religieuse plus haute et plus spirituelle que celle ici exprimée. Jésus y a vu "le premier et le grand commandement" de la nouvelle comme de l’ancienne alliance (Mr 12: 30). Dans les citations de sa parole que nous donnent Matthieu (Mt 22: 37), Marc (Mr 12: 30) et Luc (Lu 10: 27) nous trouvons, comme déjà dans la traduction des Septante, la pensée ajoutée au coeur et à l’âme; elle est ici renfermée dans le mot d’âme.


1 Pierre 4 : 8

8 Avant tout, ayez les uns pour les autres un ardent amour, car L’amour couvre une multitude de péchés.

8 Il doit veiller à sa relation avec les autres chrétiens (v. 8, 9), et témoigner un ardent amour pour tous les membres de l’Eglise. Un tel amour se gardera d’exposer publiquement les fautes et les manquements des autres croyants. Quelqu’un a dit: « La haine présente tout sous son plus mauvais jour. Mais l’amour, qui couvre toute faute, fait preuve d’une grande discrétion. »
L’affirmation L’amour couvre une multitude de péchés (#Pr 10.12) ne devrait pas être prise comme une explication doctrinale sur la façon dont nos péchés sont effacés. Seul le sang de Christ peut ôter la culpabilité et le châtiment du péché. On ne saurait se servir de cette affirmation pour trouver des excuses au péché ou pour dégager une Assemblée de sa responsabilité de discipliner un transgresseur. Ce verset signifie que l’amour véritable sait ignorer les fautes et les manquements mineurs des autres croyants.


Matthieu 5 : 44-48.

44 Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent,
45 afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes.
46 Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez–vous? Les publicains aussi n’agissent–ils pas de même?
47 Et si vous saluez seulement vos frères, que faites–vous d’extraordinaire? Les païens aussi n’agissent–ils pas de même?
48 Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait.


44-47 Désormais, Jésus révèle que nous devons aimer nos ennemis et prier pour ceux qui [...] nous persécutent. L’ordre d’aimer montre que l’amour est avant tout affaire de volonté et non de sentiments. Cet amour est différent de l’affection naturelle, parce qu’il n’est pas naturel d’aimer ceux qui haïssent et blessent. C’est le fruit d’une grâce surnaturelle, manifestée par ceux qui ont reçu la vie divine.
Il n’y a aucune récompense à glaner à aimer ceux qui nous aiment ; cela, déclare Jésus, même des publicains [6, voir "Mt 28.20" @@ "6. "] inconvertis sont capables de le faire. Ce type d’amour n’exige pas une force divine. Il n’y a pas de mérite, non plus, à saluer seulement les frères [7, voir "Mt 28.20" @@ "7. "] , c.-à-d. les parents et les amis. Ceux qui ne sont pas sauvés en font autant ; ce n’est pas une marque chrétienne distinctive. Si nos normes ne sont pas supérieures à celles du monde, il est évident que nous n’aurons aucun impact sur lui.
Jésus demande à ses disciples de rendre le bien pour le mal ; ainsi, ils seront fils de leur Père qui est dans les cieux. Le Seigneur ne dit pas qu’en agissant de la sorte, ils deviendront fils de Dieu ; c’est, au contraire, leur façon de prouver qu’ils le sont. Puisque Dieu ne fait aucune différence entre les méchants et les bons, qui bénéficient, les uns comme les autres, du soleil et de la pluie, nous devons, à notre tour, nous montrer aimables et bienveillants envers tous.
48 Jésus clôt cette section par l’exhortation: Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. Il faut interpréter le mot parfait à la lumière du contexte. Il ne signifie pas « sans péché » ou « sans défaut ». Les versets précédents montrent qu’être parfait, c’est aimer ceux qui nous haïssent, prier pour ceux qui nous persécutent, et témoigner de la bonté envers les amis et les ennemis. La perfection dont il est question ici est la maturité spirituelle qui rend le chrétien capable d’imiter Dieu, qui accorde ses bénédictions à toute créature sans partialité.


Jean 13 : 34-35.

34 Je vous donne un commandement nouveau: Aimez–vous les uns les autres; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez–vous les uns les autres.
35 A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres.


34-35 Mais l’amour vaincra toutes les difficultés et révélera aux hommes qui sont les vrais disciples de Jésus. Un commandement nouveau. Dans le sens de la plus haute consécration à Dieu, l’ordre d’aimer était déjà connu ; mais le commandement de Jésus que les disciples doivent s’aimer les uns les autres est nouveau dans sa portée et le fait qu’il émane d’une autre source : comme je vous ai aimés. Jamais Jésus n’aurait pu dresser devant son peuple un modèle plus élevé.
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MARDI 23 SEPT 08 AIMER EN PAROLES ET EN ACTES.
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