guidobarbarossa
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| Sujet: MARDI 28/11/06 UN FOYER DE PAIX ET DE GUÉRISON (2). Mer 29 Nov - 2:42 | |
| MARDI 28 NOVEMBRE 2006 Un foyer de paix et de guérison (2).Psaumes 128 : 1-6 1 Cantique des degrés. Heureux tout homme qui craint l’Eternel, Qui marche dans ses voies ! 2 Tu jouis alors du travail de tes mains, Tu es heureux, tu prospères. 3 Ta femme est comme une vigne féconde A l’intérieur de ta maison ; Tes fils sont comme des plants d’olivier, Autour de ta table. 4 C’est ainsi qu’est béni L’homme qui craint l’Eternel. 5 L’Eternel te bénira de Sion, Et tu verras le bonheur de Jérusalem Tous les jours de ta vie ; 6 Tu verras les fils de tes fils. Que la paix soit sur Israël !* Les bénédictions de ceux qui craignent Dieu. Seuls les saints sont réellement heureux. Il est vain de simuler une certaine crainte de Dieu si nous n’avons pas conscience de la droiture absolue qu’il faut avoir vis à vis de Ses préceptes. Bénis soit celui qui craint le Seigneur, quelle que soit sa position ici-bas, riche ou pauvre. Si tu Le crains et si tu marches dans Ses voies, tout ira bien pour toi dans ce monde et tu auras la meilleure part dans l’éternité. Par la bénédiction divine, les hommes pieux disposent d’un gagne-pain honnête. Il y a ici une double promesse: Ils auront une tâche à faire, car l’oisiveté, c’est la misère et le manque d’aisance; de plus, ils auront force et santé, c’est-à-dire la volonté d’action. Ils ne profiteront pas du labeur des autres. C’est à la fois une grâce et un devoir, de pouvoir, en toute tranquillité, travailler et manger de son propre pain. Ils pourront jouir de leur gain. Cette crainte du Seigneur et ce cheminement dans Ses sentiers sont les seuls critères qui peuvent rendre une personne heureuse, quels que soient les aléas de la vie. Cela donne une vie familiale d’une richesse et d’une qualité incomparables. Ceux qui craignent Dieu auront toutes les bonnes choses promises par Dieu, ils jouiront des requêtes qu’ils auront faites dans leurs prières. Un homme pieux peut se réjouir en voyant ses petits enfants; il en est de même pour la paix sur Israël. Chaque véritable croyant se réjouit de voir l’église prospérer. Plus tard, il verra encore de plus grandes choses, dans la paix éternelle et dans le repos que Dieu réserve à Israël. Philippiens 2 : 12-1312 ¶ Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent; 13 car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir.12 Jésus-Christ ne donne pas seulement un exemple d’humilité, mais aussi d’obéissance (verset . Les Philippiens sont ainsi appelés à se soumettre, que Paul soit avec eux ou non (cf. 1.27). Christ est l’Exemple, mais il est avant tout l’auteur du salut. Cette rédemption ne doit pas cependant être acceptée avec complaisance, elle doit être mise en valeur dans un esprit de respect et de crainte, pour ceux qui ont conscience de vivre sous le saint regard de Dieu et de devoir lui en rendre compte. 13 L’apôtre Paul leur rappelle qu’il leur est possible de mettre en oeuvre leur salut car c’est Dieu qui produit en eux le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. En somme, c’est Dieu qui met en nous l’envie ou le désir de faire sa volonté avant toute chose. Il produit ensuite en nous le pouvoir d’accomplir ce désir. Le divin et l’humain coopèrent merveilleusement. D’une part, nous sommes appelés à mettre en oeuvre notre salut, et d’autre part, Dieu seul peut nous en rendre capables. Faisons notre part, et Dieu accomplira la sienne. (Ce principe ne s’applique évidemment pas au pardon des péchés, ou à la nouvelle naissance. La rédemption est entièrement l’oeuvre de Christ. Nous ne pouvons que croire et en vivre.) Matthieu 18 : 1515 Si ton frère a péché, va et reprends–le entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère.15 Si ton frère. Le frère dans l’église. A péché. Contre toi, personnellement. S’il t’a porté préjudice ou fait du tort. Reprends-le. Dis lui sa faute. Va à lui personnellement, discrètement, pour lui parler fraternellement, en essayant de lui montrer sa faute. Tu as gagné ton frère. Pour toi-même, par la restauration de bons sentiments; pour Dieu, en conduisant ton frère hors du péché, vers la repentance. Colossiens 3 : 12-1412 ¶ Ainsi donc, comme des élus de Dieu, saints et bien–aimés, revêtez–vous de sentiments de compassion, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience. 13 Supportez–vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez–vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez–vous aussi. 14 Mais par–dessus toutes ces choses revêtez–vous de l’amour, qui est le lien de la perfection.12 Comme des élus de Dieu. Comme une nation sainte, choisie, et bien-aimée, reposez-vous sur ses grâces. Miséricorde, etc. Ce sont là les caractéristiques de Christ, que nous devons trouver en nous s’il est notre vie. 13 Supportez-vous . . . pardonnez-vous. Ces choses reviennent bien souvent dans les exhortations. Nous devons nous baser sur le fait que Dieu ne pardonne qu’à ceux qui pardonnent eux-mêmes. 14 Par-dessus toutes ces choses revêtez-vous de la charité. Si nos âmes sont imprégnées d’amour, l’amour qu’avait Christ, il nous est facile de supporter et de pardonner. Le lien de la perfection. Toutes les grâces chrétiennes sont liées ensemble par l’amour. L’amour est la source de toutes les grâces. Hébreux 8 : 1212 Parce que je pardonnerai leurs iniquités, Et que je ne me souviendrai plus de leurs péchés.12 Mieux encore, la nouvelle alliance promet la miséricorde aux injustes et le pardon éternel de leurs péchés. La loi était inflexible et intransigeante. « ... toute transgression et toute désobéissance ont reçu une juste rétribution » (#Heb 2.2). En outre, la loi ne pouvait régler efficacement le problème du péché. Elle pourvoyait à l’expiation du péché mais non à son effacement. (Le mot Hébr. pour « expiation » vient d’un verbe qui signifie « couvrir ».) Les sacrifices prescrits dans la loi rendaient l’homme pur sur le plan cérémoniel ; en d’autres termes, ils lui permettaient de s’engager dans la vie religieuse de la nation. Mais ce rituel de purification était extérieur ; il ne touchait pas à la vie intérieure de l’homme. Il ne produisait aucune purification morale ni ne conférait à l’homme une conscience limpide. Matthieu 5 : 2222 Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère est passible de jugement ; que celui qui dira à son frère : Raca ! mérite d’être puni par le sanhédrin ; et que celui qui lui dira : Insensé ! mérite d’être puni par le feu de la géhenne.22 Mais moi, je vous dis. L’éternel a parlé dans le Décalogue à Israël. Christ assume le droit de l’amender. Un tel droit est basé sur un droit de divinité. Quiconque se met en colère contre son frère. Jésus repousse l’action meurtrière, et interdit la colère et les mots de reproches qui la précèdent, et qui y conduisent. Il place le coeur meurtrier au niveau du véritable criminel. Raca. Un épithète de mépris; "tête vide", c’est à dire un hérétique. Le Sanhédrin. La plus haute cour d’Israël. Elle correspondait à notre Cour Suprême, et se composait de soixante-dix membres. Insensé. L’original implique un stupide, un sot et méchant. Le feu de la Géhenne. Le terme Géhenne vient de la vallée de Hinnom, au sud de Jérusalem, où les Cananéens faisaient brûler des sacrifices humains à Moloc. Après le retour des Juifs de captivité ils en firent un lieu de décharge, où l’on jetait et brûlait les ordures de la ville. Le nom fut utilisé par les Juifs pour désigner le lieu du châtiment futur. Le mot est souvent utilisé dans le Nouveau Testament, et dénote toujours un lieu de châtiment futur. [u][color=brown][u]Ephésiens 4 : 26-2726 Si vous vous mettez en colère, ne péchez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colère, 27 et ne donnez pas accès au diable.26 Le renouvellement de notre vie doit aussi se faire sentir pratiquement en ce qui concerne la colère, qu’elle soit justifiée ou non. Mais il peut arriver qu’un croyant se mette en colère pour une raison valable, par exemple quand le caractère de Dieu est mis en cause. Quand cependant la colère est causée par un sentiment de malice, de haine ou d’offense personnelle, elle est interdite. Aristote disait: « N’importe qui peut se fâcher, c’est facile. Mais se fâcher contre la bonne personne, pas trop ni trop peu, au bon moment, pour une raison valable, et de la bonne manière-cela n’est pas facile ! »
Le croyant qui donne libre cours à une colère injuste devrait confesser sa faute et y renoncer sans tarder. Il devrait se confesser à Dieu et à la victime en cause. Il ne devrait pas en rester de la rancune, ni des ressentiments, ni de l’irritation. Que le soleil ne se couche pas sur votre colère. Tout ce qui trouble la communion avec Dieu ou nos frères devrait immédiatement être mis en ordre. 27 Les crises de colère non confessées donnent au diable une base d’opérations. Il trouve déjà assez de points d’accrochage sans que nous l’aidions à en trouver de nouveaux. Ne cherchons donc pas à inventer des excuses pour notre malice, colère, envie, haine ou passion. Ces péchés déprécient notre témoignage chrétien, troublent les inconvertis, offensent les croyants et nous font du mal spirituellement et physiquement. 2 Rois 16 : 1-31 ¶ La dix–septième année de Pékach, fils de Remalia, Achaz, fils de Jotham, roi de Juda, régna. 2 Achaz avait vingt ans lorsqu’il devint roi, et il régna seize ans à Jérusalem. Il ne fit point ce qui est droit aux yeux de l’Eternel, son Dieu, comme avait fait David, son père. 3 Il marcha dans la voie des rois d’Israël ; et même il fit passer son fils par le feu, suivant les abominations des nations que l’Eternel avait chassées devant les enfants d’Israël.1 Le règne mauvais d’Achaz. 1 La dix-septième année de Pékach ;; ce devrait être en 735 environ Achaz : abrégé de Jehoahaz. Achaz régna en 723-716 environ et fut co-régent dès 735 avant Jésus-Christ. 2 Avait vingt ans : d’après cette donnée, pense un savant, Achaz aurait eu onze ans à la naissance de son fils Ézéchias ! Les LXX et la Syriaque lisent en #2Ch 28:1 « vingt-cinq » au lieu de vingt. Thiele parvient, en supposant des années de co-régence, à lui donner quatorze ou quinze ans lorsque naquit son fils; ce chiffre n’est pas impossible. Si Achaz devint co-régent en 735, Jotham ne devait avoir alors que quarante et un ans (puisqu’il avait vingt-cinq ans en 751 (#2Ro 15:33). On suppose que Jotham était en mauvaise santé, ce que confirmerait sa mort en 732 à l’âge de quarante-trois 3 Et même il fit passer son fils par le feu : ce ne fut pas une simple cérémonie, mais un véritable holocauste (selon Josèphe), à cause peut-être d’une crise nationale. D’après Jérémie, ce sacrifice eut lieu dans la vallée de Hinnom, à Topheth, qui signifie « bûcher ». | |
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