guidobarbarossa
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| Sujet: RECEVOIR LE SAINT-ESPRIT MARDI 02 OCTOBRE 2007 ( SUITE ) Mer 3 Oct - 12:21 | |
| Joël 2 : 2828 Après cela, je répandrai mon esprit sur toute chair ; Vos fils et vos filles prophétiseront, Vos vieillards auront des songes, Et vos jeunes gens des visions. 28-32 La promesse a commencé à s’accomplir au jour de la Pentecôte, quand le Saint-Esprit a été répandu ; elle s’est ensuite appliquée lorsque la grâce miraculeuse a été donnée à la fois aux Juifs et aux gentils. Les jugements de Dieu envers le monde pécheur n’auront réellement lieu qu’au temps de la fin, au dernier jour. Le fait de faire appel à Dieu suppose qu’on Le connaisse déjà, qu’on désire Le rencontrer, dépendre de Lui, et pour finir, qu’on Lui obéisse en toute sincérité. Seules ces personnes là seront délivrées au "grand jour," celles qui se sont détournées du péché pour aller vers Dieu, vers Christ, celles dont le coeur est porté vers les choses célestes. Jean 7 : 37-3937 Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s’écria : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. 38 Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture. 39 Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui ; car l’Esprit n’était pas encore, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié. 37-39 Au dernier jour, le jour de la fête des tabernacles, les Juifs puisèrent de l’eau et la déversèrent devant l’Eternel. Il est supposé que Christ fait allusion à ce fait. Si un homme quelconque désire être vraiment heureux et pour toujours, qu’il s’attache à Christ, et qu’il soit conduit et enseigné par lui. Cette soif signifie un puissant désir de bénédictions spirituelles, que rien d’autre ne peut satisfaire ; ainsi les influences sanctifiantes et bienfaisantes du Saint Esprit étaient sous-entendues de ce qu’entendait Jésus par les eaux, et il appelait chacun à venir à Lui et à boire. Les flots bienfaisants coulent constamment comme un fleuve ; ce fleuve est fort comme un torrent pour renverser l’opposition des doutes et des craintes. Il y toute plénitude en Christ, et grâce pour grâce. L’Esprit qui demeure et qui agit dans les croyants est comme une fontaine d’eau vive, une source de laquelle un flot coule pleinement, qui rafraîchit et purifie. Les dons miraculeux du Saint Esprit nous ne les attendons que pour pouvoir les exprimer de la façon la plus valable et la plus précieuse possible. Ces torrents ont coulé de notre rédempteur glorifié jusqu’à cette génération, et jusqu’aux coins les plus reculés de la terre. Puissions-nous être attentifs et soucieux de les faire connaître aux autres. Jude 1 : 2020 Pour vous, bien-aimés, vous édifiant vous-mêmes sur votre très sainte foi, et priant par le Saint-Esprit, 20 Mais vous. C’est une reprise du début du verset 17, qui souligne l’insistance de Jude. Votre très sainte foi se réfère, comme au verset 3, au contenu de la révélation chrétienne. Celle-ci est très sainte, puisqu’elle est donnée par Dieu. Correctement interprétée et mise en pratique, elle engendre une vie sainte. Par le Saint-Esprit : s’applique à l’expérience chrétienne de la communion constante avec Dieu en Jésus-Christ et par le Saint-Esprit (cf. #Ro 8:9, 16,26 ; #Eph 6:18). 1 Corinthiens 12 : 7-117 Or, à chacun la manifestation de l’Esprit est donnée pour l’utilité commune. 8 En effet, à l’un est donnée par l’Esprit une parole de sagesse ; à un autre, une parole de connaissance, selon le même Esprit ; 9 à un autre, la foi, par le même Esprit ; à un autre, le don des guérisons, par le même Esprit ; 10 à un autre, le don d’opérer des miracles ; à un autre, la prophétie ; à un autre, le discernement des esprits ; à un autre, la diversité des langues ; à un autre, l’interprétation des langues. 11 Un seul et même Esprit opère toutes ces choses, les distribuant à chacun en particulier comme il veut. 7 Les dons ne sont pas accordés pour l’enrichissement individuel particulier, ni pour provoquer la rivalité ou la jalousie, mais pour l’utilité commune. 8 A l’un est donnée par l’Esprit une parole de sagesse. Le fait d’être capable de révéler une vérité divine, don que possédaient les apôtres. A un autre, une parole de connaissance. L’aptitude de pouvoir enseigner sans erreur ce qui avait été révélé aux apôtres et aux prophètes. 9 A un autre, la foi. Non cette foi qui vient de ce que l’on entend, mais la foi qui amène une puissance miraculeuse. 10-11 A un autre, la prophétie. Le prophète était celui qui, sous l’impulsion divine, prononçait des paroles données par le Saint Esprit. A un autre, le discernement des esprits. Le pouvoir de lire dans les coeurs et de déterminer quels sont ceux qui parlent par l’esprit divin, ou par quelque autre impulsion. A un autre, la diversité des langues. Ceux qui parlaient en langues parlaient des langages qu’ils n’avaient jamais appris. Quelquefois, ce qu’ils disaient n’était pas compris par l’auditoire Et de là, un autre don était l’interprétation des langues, la possibilité d’expliquer le sens de ce que disaient ceux qui parlaient en langues. Neuf dons sont nommés, tous surnaturels, impartis par le même Esprit, qui les distribue selon sa propre volonté. 1 Pierre 4 : 1010 Comme de bons dispensateurs des diverses grâces de Dieu, que chacun de vous mette au service des autres le don qu’il a reçu, 10 Chacun implique que tout chrétien a un don. Ce que dit Pierre sur la façon de le faire fructifier est important si l’on pense que c’est justement à cet apôtre que Jésus en a parlé dans Luc 12 :42 Romains 5 : 55 Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné.5 Cette haute espérance n’entraîne ni désenchantement ni désillusion (cf. #2Co 7:14; 9:4), parce que les âmes des croyants sont submergées par l’amour de Dieu, qui se manifeste par la présence du Paraclet, le Consolateur. Les justifiés deviennent conscients de l’amour de Dieu envers eux par l’habitation de l’Esprit en eux (cf. le bonheur de l’homme à qui Dieu impute la justice indépendamment des œuvres ; 4.5-. Ephésiens 5 : 1818 Ne vous enivrez pas de vin : c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit ;18 Être sage, c’est aussi conserver le contrôle de soi afin de détecter tout danger d’intoxication qui abolirait la vigilance de la censure morale et ouvrirait une porte à l’immoralité. Paul poursuit avec hardiesse en appliquant la leçon : cherchez à vous remplir, non de vin, mais d’Esprit ; et puisque, autour de vous, l’ivrognerie est chose commune et l’ivresse une expérience quotidienne, que la plénitude du Saint-Esprit soit votre préoccupation continuelle. | |
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